Nous ferons d’une rue, d’une seule, notre terrain de déambulation. Ni boulevard, ni rue-star, nous choisirons une rue ordinaire, une rue comme les autres, et nous irons sonder une autre limite : celle qui sépare l’espace intime et l’espace public, le logement et la rue. Ça sera une explo pour pousser les portes, glisser un oeil dans la serrure, investir les arrières-cours, longer les murs, échanger avec des habitants, des usagers, et sonder l’épaisseur de la rue.